Intelligence artificielle
En réalité, il n’y a pas d’intelligence artificielle... mais plutôt : une intelligence humaine augmentée.
Cette démarche, peut-elle être utile à l'univers du soin et de la thérapeutique, peut-elle améliorer la santé ?
Pour répondre, je vous propose de (re)voir comment les algorithmes "savent" ou "apprennent"...
L'approche logique
Appelée aussi symbolique, cette approche reproduit des raisonnements préconçus.
Elle s'appuie sur des connaissances.
Potentiel : Aide au diagnostic.
L'approche numérique
Ou connexionniste... Exploite les données du passé, et trouve des "régularités" à la suite d'essais et d'erreurs.
Elle s'inspire du fonctionnement cérébral.
Potentiel : Aide à l'interprétation des clichés radiologiques.
"Ces données viennent du monde médical classique, mais aussi de la vie réelle.
Les informations non médicales a priori participent à l'amélioration la santé."
Deux dimensions des données
Largeur
Les données variées, sur un laps de temps court (voire en temps réel), grâce aux objets connectés (et réseaux sociaux), incluant les données de vie réelle.
Profondeur
Les données au long court, parfois dès la naissance.
Elles montrent des trajectoires de soin par exemple.
Ces données peuvent être des chiffres, des textes (remarques d'un professionnel de santé), des images (clichés annotés du radiologue), voire même des sons ou des odeurs...